Souvenez vous de ce monticule en "érection"

C'est vrai qu'en vieillissant la mémoire nous fait défaut, mais ce n'est pas toujours la faute de Alois Alzheimer ( je n'ai pas de mérite ), c'est comme les raideurs, en prenant de l'age, j'ai constaté, qu'elles avaient tendance à se déplacer,on ne peut pas affirmer non plus que c'est de la faute de l'entrainement ! Je n'ai pas connu mai 68 en France, j'étais dans le Pacifique .

Salut aux Sahariens.
Il est dommage que l'on n'ai plus certaines images sur le forum, et là je crois Marcel car je me souviens d'une vue aérienne avec la piste et la montagne qui m'avait paru plus impressionnante que ce dont on parlait entre nous.
Il me paraissait presque impossible de faire sauter une masse pareille...Je pense qu'il y a méprise et que des pitons rocheux aux formes similaires se sont vu attribué ce nom prestigieux...
Dommage aussi d'avoir "perdu" sur le forum un pilote qui avait fréquenté le secteur. Si j'ai bonne mémoire, ce piton était certes un obstacle possible mais surtout il générait des perturbations atmosphèriques et des phénomènes électromagnétiques assez difficiles à maitriser.
Maintenant, Marcel il ne tient qu'à toi de rétablir la vérité,,,,,,,,la ou les photos...
et après :miam: :miam:

Bonjour les Sahariens,

A propos de monticule en érection et comme je vois que la discussion est parfois grivoise, permets-moi de vous raconter cette histoire :

A Fatu Hiva dans l'archipel des Marquises, il y a une superbe baie que les marins des baleiniers avaient baptisée "La baie des verges" (voir la photo ci-dessous). Quand les missionnaires ont débarqué, ils l'ont immédiatement rebaptisé "La baie des vierges". Allez savoir pourquoi.....

Tiens j'ai retrouvé cela qu'était en train de macérer dans le faux rhum...Cela à l'air balèze et contrairement aux autres images on a une petite idée de l'échelle de vision...
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Vous vous rendez compte du trou qu'il faudrait faire pour cacher ça :scratch:

Merci à Pierre d'agrémenter le forum avec des images et des anecdotes, c'est un réel plaisir de voyager en couleur...

Je ne savais pas que de base vie la "bitte acamille" etait le pic laperine
Mais certains se souviennent ils qu'a oassis 2 il y avait un pic beaucoup
plus petit a 6 ou 8 kilometre a l' arrierre du camp je suis monte en haut
On l'appelait la "bitte a gégene"


a suivre

Non : ça a la forme du Pic Laperrine, ça a la couleur du Pic Laperrine, ça la hauteur du Pic Laperrine...
Mais ce n'est pas le Pic Laperrine, c'est l'Isek n'Toufrek !

La face sud de la "Bitte à Camille" et la piste balisée :



La face sud-ouest de l'Isek n'Toufrek :

painvin a écrit:

Je ne savais pas que de base vie la "bitte acamille" etait le pic laperine
Mais certains se souviennent ils qu'a oassis 2 il y avait un pic beaucoup
plus petit a 6 ou 8 kilometre a l' arrierre du camp je suis monte en haut
On l'appelait la "bitte a gégene"


a suivre

Cruchot!
Non pardon, Couchot !
Classez moi toutes ces bittes pour ceux qu'on rien "bitté".

Alors un plan des différentes "bitations".et monticules.....
J' sais pas moi , mais" faites què'que chose"!

Le titre du sujet a retenu l'attention de mon épouse :
"Souvenez-vous du monticule en "érection""
elle me dit qu'elle se souvient pas.....

L'escalade de la "Bitte à Camille", l'Isek n'Toufreq, le 23 septembre 1962.

S'élevant à 5 Km à l'est de la piste d'aviation d'In Amguel, son sommet à 1387 mètres domine un plateau désertique situé à 990 m d'altitude.

La face ouest de l'Isek n'Toufreq :



Du haut de cette pyramide, 400 mètres vous contemplent. C'est nettement plus haut que la Tour Eiffel !

Au pied de l'Isek n'Toufreq :



... et moi, à côté d'un curieux rocher en forme de champignon !
Ce n'est pas la pluie qui lui a permis de pousser à cet endroit.
Sa forme est due à l'érosion éolienne (celle du rocher, pas la mienne...).
Quelque graminées jaunies et un arbre sec témoignent de la sécheresse du lieu.

Début de l'ascension, dans le chaos de rocher, au pied du monticule :



Ce n'est pas encore très difficile, mais il commence à faire chaud...
Les roches ont été fracturées par l'alternance du gel nocturne et de la chaleur du soleil.

Suite de l'ascension :



Une gourde encore pleine permet d'étancher notre soif.

Suite de l'ascension :



La grande dalle en surplomb, et moi ! Attention, ça glisse...

La faille, enfin un peu d'ombre :



Nous grimpons à quatre pattes, et même à reculons... Je n'irais pas plus haut que la mi-pente : c'est trop raide ensuite !
En contre-bas, le plateau avec des éboulis de rochers.